Ci-contre, le premier permis de travail délivré à Tony Di Napoli, en 1958.
Il était venu en Belgique en 1957 pendant les vacances d’été afin de venir voir sa sœur et ses neveux.
A cette époque, il travaillait à Milan, comme tailleur d'habits, à un jet de pierre du célèbre Dôme.
Puis, retrouvant une foule d’amis du pays et contaminé par l’effervescence qui animait la communauté italo-belge, il trouva un travail dans la couture et s’installa, la tête pleine de projets, de musique et de chanson.
Tony Di Napoli restera fidèle à cette communauté, indifférent à une carrière dans la chanson française.
Son public lui en est reconnaissant, après plus de 50 ans de bals et d’animations culturelles diverses. Son téléphone ne cesse de sonner et son agenda toujours aussi chargé !
Mais, hélas, ce travail n’est pas toujours bien compris par les médias qui ne jurent que pour le strass et les paillettes.
Comme le répète infatigablement Tony Di Napoli : « Ne confondons pas l’Honneur avec les honneurs ! ».
Vive la chanson italo-belge ! Et vive Tony Di Napoli, son digne représentant.
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